Une association avait régulièrement obtenu un permis de construire en 2005. Elle avait en suivant engagé les travaux objet de ce permis de construire. Néanmoins, pour des raisons obscures, la mairie a pris un arrêté afin de suspendre le chantier. Saisi en référé et au fond, le tribunal administratif a suspendu cet arrêté, puis l'a annulé. L'association a par la suite engagé une action de plein contentieux devant le tribunal administratif afin de demander réparation du préjudice que l'illégalité de l'arrêté interuptif de travaux lui a causé. Le tribunal administratif de Grenoble a débouté l'association par un jugement du 5…